Dans une tentative de trouver son siège dans le monde de l’industrie des puces électroniques, la France allouera 2,9 milliards d’euros (3,1 milliards de dollars) à la création d’une usine de puces électroniques, ce qui stimulera la concurrence dans une course mondiale dans le secteur.
L’Europe et les États-Unis avaient adopté des lois sur l’industrie des puces pour promouvoir l’investissement dans ce secteur.
Le financement de ce projet pourra atteindre 7,5 milliards d’euros, via un projet annoncé l’année dernière par la Société multinationale européenne « STMicroelectronics » et la Société américaine « GlobalFoundries ».
La loi des puces européennes vise à fournir des investissements de 43 milliards d’euros, et le conglomérat produira 20% des puces électroniques mondiales d’ici 2030.
L’Europe représente actuellement moins de 10% de la production mondiale totale, tels que la plupart des puces du monde sont fabriqués à Taïwan.
Le ministère français a déclaré que le projet, situé à Grenoble dans le sud-est de la France, renforcera la capacité de production de l’Europe d’environ 6% d’ici 2028.