Le chef d’une société française de détail déclare mecredi aux législateurs lors d’une table ronde avec des dirigeants que les groupes de supermarchés français exigeront des baisses de prix de 2 à 5% de la part des fabricants de produits alimentaires dans les négociations à venir.
Selon Reuters, les détaillants français ont critiqué les géants des biens de consommation tels que Unilever et Nestle pour des hausses de prix injustifiées, et le gouvernement a fait pression sur les fabricants de biens de consommation pour baisser les prix.
Le président des Mousquetaires « Thierry Kotyar » a souligné que « les faibles coûts des matériaux et de l’énergie signifient que la production de produits alimentaires et de biens de consommation est moins chère, les prix convenus dans les négociations devraient refléter cela. »
La France, qui dispose de règlements fixant les négociations annuelles sur les prix de début décembre à début mars, a proposé une loi qui introduirait des négociations, en vue de commencer les discussions bientôt et de les conclure d’ici le 15 janvier.