Le Premier ministre italien Giorgia Meloni et le chancelier allemand Olaf Scholz cherchent à conclure une série de transactions commerciales afin de renforcer les relations entre leurs deux pays, loin de la France, selon des informations de presse.
Selon certaines informations, la visite de Meloni, la première à Berlin, mercredi dernier, au cours de laquelle il était accompagné de hauts ministres du gouvernement, représente la réunion au plus haut niveau entre les deux pays en 7 ans.
Le Premier ministre italien Giorgia Meloni et le chancelier allemand Olaf Schulz mènent une série de relations commerciales étroites entre leurs pays avec la « marginalisation » de la France.
Schultz a accueilli son invitée, l’appelant » chère Géorgie », alors que la série de victoires financières de Rome coïncidait avec le désastre budgétaire de Berlin.
Cette chaleur reflète une série de mesures prises par le gouvernement Meloni ces dernières semaines pour faciliter les relations de coopération entre les entreprises étrangères, y compris la coopération avec l’Allemagne et aux dépens de la France. Les manifestations d’une telle coopération allaient de l’espace aux compagnies aériennes et aux communications.
Berlin a joué un rôle clé dans la décision de Rome d’opposer son veto au rachat d’une compagnie aérienne nationale par Safran SA, une multinationale française qui fabrique des avions et des moteurs de fusée, selon le document de jugement consulté par Bloomberg. « Berlin a joué un rôle clé dans la décision de Rome d’opposer son veto à l’acquisition de Safran SA, une multinationale française qui fabrique des moteurs d’avions et de fusées.
Le document a révélé que lors de consultations avec Rome, des responsables allemands avaient averti que l’achat de « microtechnica », une grande entreprise italienne de composants aéronautiques, pourrait représenter un obstacle aux principales lignes d’approvisionnement.